Compassion
Etre végane pour la compassion et la non-violence

Etre végane pour la compassion et la non-violence

La maltraitance animale, les problèmes environnementaux, les maladies, les crises socio-économiques, les famines, qui menacent la terre et ses créatures vivantes sont les résultats de la cruauté des hommes. Puisque le véganisme est aussi basé sur la compassion et la non-violence, il est alors une solution pour un monde meilleur de bonté et de paix

Véganisme et compassion

Le véganisme est naturellement la compassion envers les animaux pour leur bien-être. Le bonheur est le cœur de la vie : chaque être vivant veut s’épanouir. Ainsi, comme tout humain, les animaux méritent aussi la joie de vivre. La reconnaissance générale de ce principe doit être notre morale de vie. Or le mode de vie des hommes non-véganes porte atteinte à la vie animale par l’alimentation, l’habillement,…etc. C’est la raison pour laquelle les véganes compatissent aux souffrances des animaux en excluant tous les produits d’origine animale de leur alimentation (viande, poisson, coquillages, lait, œufs ou miel entre autres), de leur habillement (fourrure, cuir, laine, soie, plumes) et de quelque autre domaine que ce soit (cosmétiques, loisirs, etc.).

Apres le bien-être animal, les véganes compatissent également aux souffrances de la planète. L’élevage, les produits animaux,…sont les principales causes des émissions de gaz à effet de serre, la pollution et la raréfaction des réserves d’eau, la déforestation, l’appauvrissement des sols et la destruction des écosystèmes, la pollution des océans,….etc. Puisque le véganisme bannit tout ce qui est lié à la maltraitance animale, il contribue alors à la protection de la planète.

Le véganisme est aussi la compassion à l’égard des humains. Ce mode de vie lutte contre les famines, les inégalités sociales,…etc. Par exemple, Selon les études de Doan Bui, à cause de l’augmentation de la production de viande entre les années 1950 et les années 2000, 80 % de l’alimentation animale vient de cultures qui conviendraient à l’alimentation humaine et 60 % de la production mondiale de céréales est consacrée à l’élevage industriel, alors qu’elle pourrait être utilisée pour alimenter les 850 millions d’humains victimes de malnutrition.

Véganisme et non-violence

À travers la lutte pour le bien-être animal, le véganisme évite d’abord les violences que subissent les animaux de la part des hommes.

Ce mode de vie est également une solution naturelle aux crises environnementales qui proviennent des agressions des hommes sur la planète.

Le véganisme combat les inégalités sociales (la discrimination systémique, la xénophobie, le racisme, le capacitisme, sexisme,…) et assure aussi la paix dans les sociétés humaines.

Cette pensée de Gary L. Francione apporte également des éclaircissements sur le rôle capital du véganisme dans le maintien de la paix dans le monde :

« Si vous n’êtes pas végane, devenez-le. C’est vraiment facile. C’est meilleur pour notre santé et cela réduit la violence que nous nous infligeons. C’est meilleur pour la planète et réduit le mal que nous faisons à la maison de tous les êtres vivants et aux écosystèmes qui supportent toutes les formes de vie. Mais, et c’est le plus important, c’est la chose juste à faire. Nous disons tous que nous rejetons la violence. Alors prenons au sérieux ce que nous disons. Faisons un pas important pour réduire la violence dans le monde en commençant par ce que nous mettons dans nos bouches et nos corps. »

Référence bibliographique 

Wikipédia (décembre 2021). Impact environnemental de l’élevage